Parkinson: début prometteur d’une molécule testée chez le rongeur

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Une étude menée par une équipe espagnole a montré qu’’une molécule, « S14 », pouvait former de nouvelles cellules capables de produire de la dopamine, un neurotransmetteur faisant défaut dans la maladie de Parkinson.
Cette découverte pourrait avoir un impact dans le traitement de cette maladie, caractérisée notamment par des troubles moteurs. Ces troubles sont provoquée par la mort de neurones produisant de la dopamine dans les aires du cerveau impliquées dans la motricité.




Ces travaux sont issus d’un partenariat entre l’Instituto de Quimica Medica de Madrid et le programme national espagnol INNPACTO.
La licence du brevet  été acquise parr la société Araclon Biotech.
Les chercheurs espèrent pouvoir débuter des essais cliniques d’ici deux ans.