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Vos questions

«Alzheimer: comment aider le malade à s’alimenter?»Voir la réponse »

Il faut avant tout vérifier l’état de la dentition du malade. Certaines astuces contribuent à aider le malade à se nourrir. En voici quelques-uns :

  • établir un horaire régulier;
  • éliminer les distractions (par ex la télévision);
  • présenter un met à la fois et ne pas le forcer à manger s’il n’a pas faim;
  • ne pas empêcher un malade de se lever de table, car il reviendra spontanément s’il a encore faim;
  • veillez à ne pas mélanger les ingrédients d’un plat pour que le malade puisse distinguer ce qu’il y a sur l’assiette et surtout pour ne pas en altérer le goût comme c’est souvent le cas dans les « mixés « N’y ajoutez jamais les médicaments que la personne doit prendre, certains ont un coût inacceptable;
  • la température des aliments doit être froide pour les plats froids (salades…) et chaud pour les plats cuisinés. La chaleur d’un plat en dégage aussi les bonnes odeurs;
  • soyez toujours assis pour être dans son chaos de vision pour qu’il vous voit et voit ce que vous faites. parlez-lui et dites-lui ce que vous faites;
  • ne donnez pas de trop grandes portions et donnez-les avec une cuillère plutôt qu’avec une fourchette, si vous le piquez, non intentionnellement, il risque de se détourner ou d’arrêter de manger;
  • si vous êtes gaucher placez-vous à sa gauche et l’inverse si vous être droitier;
  • ne donnez jamais à manger à deux malades à la fois;
  • si le malade est en plus hémiplégique du côté droit par exemple, faites en sorte qu’il incline la tête vers la droite, il distinguera mieux les aliments en bouche et parviendra à mieux avaler le bol alimentaire.

«Alzheimer: le malade a t-il du mal à se faire comprendre ?»Voir la réponse »

Il éprouve des difficultés à formuler une idée, surtout si elle est abstraite. Il se répète souvent, se trompe de mots (par ex. dit chaussette au lieu de chaussure). Son visage est moins expressif.

Le vocabulaire s’appauvrit au fur et à mesure que la maladie s’aggrave (par ex. il utilise les mots ‘truc’), ne peut raconter un événement de manière chronologique.

Il finit par répéter les mêmes mots au stade sévère de la maladie, pour ne plus finalement parler.