Les ventricules

Le cervelet

Le système limbique

L’échelle de Fazekas

Historique de la classification des troubles mentaux

Comment la musique influence votre santé ?

L’acérola : boostez vos défenses pendant l’hiver

Combien de neurones dans le cerveau humain ?

Comment dépister la dysphagie ?

Ile d’Okinawa ou l’île des centenaires

Les benzodiazépines

Maladie de Parkinson: les gènes jouent-ils un rôle ?

Vos questions

«Pourquoi est-il difficile de s’occuper d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ?»Voir la réponse »

1. Elle perd sa faculté de raisonner et s’exprimer, et devient de plus en plus dépendante.

2. Il faut savoir comprendre les paroles et gestes d’un malade qui n’a plus la capacité de s’exprimer de manière cohérente, ou qui est incapable de s’exprimer.

3. Les troubles comportementaux (agressivité par exemple) sont souvent difficiles à tolérer et à accepter par le soignant.

4. La maladie affecte également l’entourage qui devient plus angoissé.

5. La prise en charge d’un malade est un fardeau pour l’aidant qui s’épuise physiquement et mentalement, sans rien recevoir en retour.

6. Le proche est affecté de voir les performances cognitives et physiques du malade se détériorer.

«Quelle est la différence en déclin cognitif léger et pertes de mémoire bénines?»Voir la réponse »

Les pertes de mémoires chez les personnes avec un déclin cognitif léger sont évaluées et validées par des tests neuropsychologiques. Ces pertes de mémoire sont donc objectives (ou avérées), contrairement aux pertes de mémoire bénines qui sont qualifiées de subjectives car non validées par des tests (cela peut être le cas chez une personne âgée souffrant de dépression).